La mobilisation menée depuis plus d’un mois a contraint le gouvernement à faire des concessions, à annoncer des mesures en faveur des jeunes.

Mais la philosophie du projet demeure.

Les agents de la Fonction publique sont aussi concernés : près de 20% sont précaires, les droits des fonctionnaires seront amoindris si ceux de tous les salariés reculent.

Le débat à l’Assemblée débute le 3 mai. Dans cette nouvelle étape, nous devons être encore plus nombreux dans l’action intersyndicale, pour bloquer les régressions et défendre d’autres choix. La flexibilité, ça ne marche pas !

Pour en savoir plus lire le 4 pages FSU.