« …Ce qui est derrière une telle attitude de la part de dirigeants d’un pays réputé être celui des Droits de l’Homme, c’est une pulsion atavique de gouvernants refusant de considérer la retraite comme un droit mais plutôt comme une aide sociale à la discrétion de l’Etat, et de substituer le terme « vieux » à celui de « retraité ». Cela se traduit aujourd’hui par le fait qu’un salarié sur dix sous pression de campagnes médiatiques qui visent à affoler la population, se constitue une retraite supplémentaire, et paie en quelque sorte deux fois pour un maintien convenable de son niveau de vie une fois à la retraite. Mais c’est aussi une nouvelle tendance au plan international qui est née et que l’on nomme l’âgisme et qui dévalue les personnes âgées. Inquiétude face à une société faite soi-disant pour les jeunes gagnants… »
(lire le communiqué joint)